Le 11 août 2025, Nathalie Yamb a été reçue par le président du Niger, Abdourahamane Tiani.
Elle a réaffirmé son engagement en faveur de la souveraineté africaine et du combat mené par l’AES, malgré les sanctions de l’Union européenne.
Une audience au sommet
Le Président de la République, Chef de l’État, le Général d’Armée Abdourahamane Tiani, a reçu le 11 août 2025 l’activiste panafricaniste Nathalie Yamb, accompagnée de M. Abdourahamane Oumarou dit Abder, Président de l’Urgence Panafricaine du Niger.
L’audience, tenue en présence des membres du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP), s’inscrit dans le cadre du soutien aux idéaux souverainistes défendus par l’AES.
Sanctions contestées
Lors de cette rencontre, Mme Yamb a rappelé :
« Il y a un peu plus d’un mois, j’ai été sanctionnée parce que l’on me reprochait de vouloir évincer la France et l’Europe du continent africain, comme si cela était un crime. »
Ces sanctions, selon elle, ne sont qu’une confirmation de la justesse de son combat.
Un engagement inébranlable
L’activiste a souligné qu’elle n’entend pas abandonner la lutte qu’elle mène pour la souveraineté de l’Afrique en général et de l’AES en particulier.
Son déplacement à Niamey traduit, une fois de plus, sa volonté de témoigner son engagement et de soutenir les dirigeants et les peuples du Sahel dans leur quête d’indépendance politique et économique.
Il faut rappeler que, dans une récente vidéo, Nathalie Yamb dénonce les sanctions de l’Union européenne, qu’elle qualifie d’attaque politique contre sa liberté d’expression et son combat pour la souveraineté africaine.
Accusée de soutenir la Russie et de vouloir évincer la France du continent, elle rejette ces accusations qu’elle juge infondées et coloniales.
Privée de ressources et de déplacements, elle dénonce une « peine de mort sociale et économique » et promet une riposte judiciaire, appelant les pays de l’AES à protéger les voix dissidentes africaines.
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